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"A l’époque de la guerre froide, dans les années soixante, les médecins russes gardaient jalousement secrètes les vertus revitalisantes de la Rhodiola rosea ou racine d’or, dont ils prescrivaient des extraits de racine aux cosmonautes et militaires pour doper leurs capacités physiques et intellectuelles.

Plus proches de nous, les athlètes chinois participants aux JO de Pékin en 2008 ont reçu pendant leurs années d’entraînement et pendant la période de compétition des rations quotidiennes importantes de baies de GOJI, un trésor nutritionnel découvert depuis peu par les phytothérapeutes occidentaux."

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Le peuple San, appartenant à l’ethnie Bushmen installée depuis près de trente mille ans dans le désert du Kalahari (Afrique du Sud, Namibie, Tanzanie) utilise depuis des temps immémoriaux une plante strictement locale appelée sur place le XHOBA, nom scientifique Hoodia gordonii.

Cette plante, de la famille des apocynacées, a toutes les apparences d’un cactus et constitue encore aujourd’hui l’essentiel du viatique emporté par les chasseurs Sans partant à la recherche du gibier, dans de longues et difficiles expéditions cynégétiques.

Doté d’un incroyable potentiel énergétique, le XHOBA permettait aux chasseurs de « tenir » plusieurs jours presque sans boire ni manger autre chose, dans les conditions climatiques extrêmement difficiles propres aux déserts africains.

C’est au début des années soixante que l’Occident a rencontré pour la première fois le XHOBA, par l’intermédiaire de militaires américains initiés à ses vertus par leurs guides Bushmen.

Il a fallu près de trente années pour que le CSIR (Comité pour la Recherche Scientifique et Industrielle d’Afrique du Sud) isole la molécule active – baptisée P57 – et se rende compte qu’elle ne pouvait être synthétisée !

Depuis 2001, les études se sont multipliées – études cliniques, études épidémiologiques en « double-aveugle », essais de culture... Elles ont toutes permis de confirmer l’incontestable effet coupe-faim et surtout l’action revitalisante de Hoodia gordoni.

L’intérêt majeur de Hoodia gordonii ne réside pas dans l’effet coupe faim mais dans l’augmentation de la vitalité

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Malheureusement et comme nous venons de le démontrer pour les compléments alimentaires de synthèse, la créatine présente un risque majeure de toxicité, essentiellement au niveau des reins, pouvant à terme provoquer des néphropathies et des insuffisances rénales, ainsi qu’au niveau du métabolisme calcique et du système cardiovasculaire. La toxicité de la créatine repose sur le fait que son apport majoré dans l’alimentation perturbe fortement le délicat équilibre du métabolisme biochimique et biologique.

Augmenter l’apport nutritionnel de créatine, surtout de créatine peu ou pas naturelle provoque d’autre part une baisse de la fabrication de créatine endogène par le foie – la plus efficace et non toxique, ainsi qu’une augmentation de l’élimination urinaire provoquant une surcharge dangereuse du travail des reins.

Plusieurs études réalisées en 1996 et 1997 ont par ailleurs démontré le peu d’intérêt de la supplémentation en créatine dans des disciplines comme l’aviron, la natation, le cyclisme ou la course à pied.

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"La consommation excessive de viande n’est pas sans danger, notamment en ce qui concerne le risque d’acidose chronique.

L’équilibre acido-basique de l’organisme est particulièrement important pour le maintien de la santé et même si les décalages sont très faibles et ne s’accompagnent pas de signes cliniques aigus, le terrain est fragilisé et prédisposé à l’apparition de pathologies graves comme le cancer.

L’organisme régule en permanence cet équilibre grâce à des systèmes tampons et ce sont essentiellement les poumons par le phénomène de ventilation et les reins par les mécanismes d’excrétion et de réabsorption ioniques qui sont en charge de cette régulation permanente."

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"La consommation excessive de viande n’est pas sans danger, notamment en ce qui concerne le risque d’acidose chronique.

L’équilibre acido-basique de l’organisme est particulièrement important pour le maintien de la santé et même si les décalages sont très faibles et ne s’accompagnent pas de signes cliniques aigus, le terrain est fragilisé et prédisposé à l’apparition de pathologies graves comme le cancer.

L’organisme régule en permanence cet équilibre grâce à des systèmes tampons et ce sont essentiellement les poumons par le phénomène de ventilation et les reins par les mécanismes d’excrétion et de réabsorption ioniques qui sont en charge de cette régulation permanente."

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"Dans un premier temps, la dégradation des acides gras suffit à alimenter en énergie les muscles au repos, en simple tension posturale ou sièges de tension lente. On peut dire dans ce cas que la phosphorylation oxydative des acides gras est la voie énergétique des sédentaires.

Quand l’effort augmente d’intensité et qu’il s’inscrit dans la durée, ce sont les molécules de glucose qui sont métabolisées au niveau des mitochondries et en présence d’oxygène."